L'équipe

Pauline Lacour
Pauline débute sa carrière dans la communication et le marketing, avec une forte affinité pour l’image et la mise en forme, notamment dans le secteur culturel. Au fil des années, son attrait pour le web et le design se renforce, nourri par ses collaborations avec des graphistes et des équipes digitales.
Curieuse et autodidacte, elle commence à se former aux bases du design d’interface, avant de se reconvertir pleinement via une formation en UX/UI design, une discipline qui mêle design visuel, ergonomie et compréhension des usages pour concevoir des interfaces à la fois belles et fonctionnelles. Elle met aujourd’hui ces compétences en pratique à travers différents projets à découvrir sur son portfolio.
Elle imagine le design et développe intégralement le site internet de la Compagnie Popùliphonia, avec l’envie de retranscrire son univers.

Caroline Trémeaud
Je suis docteure en archéologie protohistorique européenne, et spécialiste du genre en archéologie. Mon objectif d'archéologue c'est d'essayer de comprendre comment les sociétés anciennes fonctionnaient. Des sociétés qui n'avaient pas d’écriture, entre - 2000 et 0 en Europe.
Et plus spécialement dans ces sociétés, j’essaie de comprendre quelles étaient les places accordées aux femmes et aux hommes.
C'est finalement une recherche assez hasardeuse. Je m'intéresse à 2000 années d'histoire qui sont séparées de nous par 2000 autres années que je n'étudie pas vraiment et pour lesquelles nous n'avons pas de texte et très peu de figuration humaine.
Très prosaïquement, actuellement, je suis responsable du Service archéologique des Ardennes. Dans ce cadre, je travaille un peu moins sur la question des mécanismes structurant les sociétés anciennes et un peu plus sur le département des Ardennes et l'organisation concrète des diagnostiques et des fouilles préventives.
Un autre aspect de ce poste est le travail de médiation : aller vers le public pour rendre accessible ce que nous, archéologues, nous découvrons. C'est peut-être là, un des liens les plus évidents avec le théâtre.
Car je suis donc présidente d'honneur de la compagnie… Et pourtant, je n'y suis pour rien ! Même pour son nom que j'adore pourtant ! Un nom capable de mixer du grec et du latin, c'est à la fois le comble de l'hérésie pour moi mais surtout une création de folie : le son du peuple ? le peuple du bruit ? Ou celui qui écoute ? À moins qu'il ne faille chercher l'origine φόνος, le meurtre, du peuple ou par le peuple ? J'aime cette incertitude car elle libère : aucun chemin n'est tracé pour cette compagnie...
Je m'égare un peu, l'enjeu n'est pas étymologique et, de toute façon, aucune de ces raisons n'est la bonne ! Mais c'est ma façon à moi d'expliquer ce nom, car expliquer ce qu'il représente pour moi, est une façon de dire ce que je ne suis pas : ni comédienne, ni impliquée dans le monde du théâtre (A part une passion pour Jean Anouilh et le bruit des grenouilles en grec ancien (oui, c'est la seule chose que j'ai retenu d’Aristophane ! )).
Et pourtant, je suis là, liée par une force bien plus puissante, celle que le théâtre tente de faire ressentir, vivre, expliquer : les liens inexplicables de l'amitié. Ils se tissent en un fourre-tout inextricable et c'est beau !
Archéologie et théâtre, c'est un drôle de mélange et pourtant... Ce sont des métiers de questionnement sur l'être humain, la façon de vivre en société.
C'est une façon de se construire un œil critique, tant sur notre monde que sur notre façon de juger ou notre propre production. Un travail qui peut être solitaire et douloureux tout comme collaboratif, socialement intense et presque aphrodisiaque.
En tant qu’archéologue qui participe à des conférences, des colloques etc, je me suis toujours sentie proche du travail théâtral : de la recherche intense pour produire un oral et mettre ses tripes à l’air, dans une représentation face à ses pairs. Ça c'est du courage ! Sans une pratique théâtrale, je n'aurais pas survécu à ma propre soutenance de thèse !
J'ai appris que parler s'apprenait et respirer aussi ! Et que la voix, ce truc naturel, pouvait se travailler. Dès que j'interviens en public, je sais que je dois poser ma voix pour avoir une toute petite chance de captiver mon auditoire, de convaincre, de faire vivre l'archéologie !
Peut-être aussi que la précarité des situations, dans ces deux milieux est un facteur de rapprochement…
Je ne suis pas toujours sûre de ce que j’apporte à cette compagnie mais je sais ce qu'elle m'a apporté. Alors je suis là. Une archéologue spécialiste du genre et de la protohistoire sera peut être utile à un moment….

Julie Trouverie
Depuis vingt ans, elle travaille dans le milieu culturel et chorégraphique. Interprète, chorégraphe, autrice, pédagogue, collaboratrice, elle accompagne les artistes. Riche de son expérience au plateau, elle aborde les missions administratives avec cet angle précieux et particulier de son parcours. Tout au long de sa scolarité, elle suit les cours du Conservatoire de Danse de La Rochelle. A l'Université de Poitiers, elle rédige un Master de cinéma en Arts du Spectacle, validé par un mémoire sur une étude du cinéma de Wong Kar Wai, sous l'angle de la danse contemporaine. Tout en ayant une carrière d'interprète auprès des chorégraphes, Odile Azagury, Katalin Patkaï, Marinette Dozeville, et autrice de ses propres projets chorégraphiques, elle travaille durant huit ans au studio Le Regard du Cygne, lieu important de la danse contemporaine à Paris. Ensuite, elle se forme et se perfectionne aux missions administratives. Depuis, elle collabore avec les artistes à des endroits différents suivant les besoins : Marinette Dozeville, Collectif Pignons sur rue (Micheline Lelièvre, Matthieu Nieto, Cie Blu - Alessandro Certini et Charlotte Zerbey à Florence - Italie... En 2023, elle rédige pour la Compagnie Grand Bal - Isabelle Magnin un carnet de bord chorégraphique bilingue franco-italien sur le projet ERASMUS.
Ses différentes expériences la mettent en contact avec des professionnels, avec qui elle crée des liens privilégiés et durables (institutions, artistes, compagnies, journalistes, structures. Elle prend en charge la gestion administrative et financière et elle connait les enjeux du secteur et de la production du fait de son emploi à Chorégraphes Associé.e.s, vigie du milieu chorégraphique du point de vue des compagnies indépendantes.
Dynamique, très organisée, rigoureuse et fiable, elle est capable d’identifier les opportunités d'amélioration ou d'innovation et fait preuve de créativité dans ses missions. Elle revendique une part de militantisme pour le secteur chorégraphique et la danse d’auteur.trice, avec la mission qu’elle effectue auprès du syndicat Chorégraphes Associé.e.s.
Entre 2015 et 2025, elle accompagne en administration l'organisme de formation SOMA (label QUALIOPI, école française agréée des programmes Body- Mind Centering, technique somatique).
Depuis 2024, année des 30 ans du festival ACORPS, elle est engagée sur une mise en archive du fond de l’Atelier de Recherche Chorégraphique - ARC de l'université de Poitiers, auprès du pôle Collections et valorisation, Département Patrimoine, audiovisuel et éditions du CND. La spécificité de l'ARC est un projet de création artistique peu commun, piloté par Isabelle Lamothe, enseignante à l'université de Poitiers. Grâce à ce parcours, elle possède une expertise des réseaux chorégraphiques.

Bruno Pelagatti
Ancien membre fondateur bassiste du groupe de musique actuelle 1984, Bruno Pelagatti s’est forgé à l’administration et à la gestion de projets culturels dans le vif du sujet.
Après un détour parisien lui ayant permis de collaborer avec Scarlett Production (Ciné/Tv), La Cie Vagabond (Théâtre), Frichti Concept (Arts de la rue/Danse) et la Cie Italique (Théâtre), il intègre la Cie strasbourgeoise Les Méridiens (Théâtre) en tant que chargé d’administration/production, de mars 2015 à février 2023.
En parallèle, il poursuit une activité de conseil en production/administration/développement et accompagne de manière ponctuelle ou suivie différentes Cies : Fil Rouge Théâtre (Théâtre Jeune Public), Paradoxe(s) (Théâtre), La Soupe (Marionnettes / Théâtre), L’association d’idées (Théâtre musical jeune public)…
Depuis 2019, il est enseignant vacataire en droit et économie du spectacle vivant à l’Université de Strasbourg.
En 2019, il co-fonde la société de production cinéma Jabu-Jabu basée à Strasbourg avec Caroline Moreau et Louis Lapeyronnie.
Fin 2022, il rejoint Juliette Steiner et la Cie Quai N°7 en tant que conseiller en production/développement.
En 2023, il assurre le tutorat des Cies bénéficiant de l’accompagnement de l’Agence Culturelle Grand Est, dans le cadre du disposif d’incubation pour les projets culturels : Fluxus.
En 2024, il est lauréat du programme de formation « La Relève » impulsé par le Ministère de la Culture, coordonnée par l’association les déterminé et assuré par Sciences Po Paris et endosse le rôle de chargé de développement de la Villa Mosellane, projet impulsé par la Cie La Spirale - Jean Boillot.
En 2025, il accompagne Romain Pichard dans le développement des projets de la Cie Populiphonia.

Célia Corbet
Grenobloise d’origine, féministe et historienne de l’art, Célia Corbet est notamment passionnée par la gravure et la photographie argentique qu’elle pratique en amatrice. Ses thèmes de prédilections sont les fleurs et le corps notamment avec sa série Bribes corporelles commencée en 2018.
En parallèle de ses passions, elle est documentaliste et s’intéresse tout particulièrement à la gestion de bases de données.
Elle a l’honneur d’être la présidente de la Compagnie Popùliphonia depuis 2022.

Madeleine Arminjon
Madeleine Arminjon est diplômée en histoire de l’art et du programme SPEAP de Sciences Po.
Elle a travaillé huit ans en agence de paysage avant de s’engager dans la gestion d’une forêt de 135 hectares dans le Morvan, prolongeant ainsi son intérêt pour les territoires et leur gestion durable.
Son engagement écologique se double d’un travail artistique à travers la broderie, l’écriture et les collaborations transdisciplinaires. Elle aime jouer avec les formes, les registres et tisser des relations entre le corps, le paysage et le soin.

Morgane Lory
Après un master en management de la culture à Sciences Po, Morgane se forme au théâtre au sein de l’Atelier Théâtral de Création à Paris (ATC) et suit la formation continue à la mise en scène au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD) en 2013–2014 (cours de Matthias Langhoff et Xavier Gallais).
Elle crée sa compagnie, Le Don des Nues, en 2008, au sein de laquelle elle écrit ses propres spectacles.
Membre de l’atelier d’écriture du Théâtre de Gennevilliers de 2008 à 2010, elle participe à Une micro histoire économique du monde, dansée de Pascal Rambert. Elle est également membre fondatrice du Collectif Open Source, un collectif de recherche autour des pratiques de la mise en scène.
De 2018 à 2021, elle est assistante à la mise en scène et dramaturge auprès de Cécile Backès au CDN de Béthune. Elle accompagne la création de Mémoire de Fille d’Annie Ernaux (2019) et La Loi de la Gravité d’Olivier Sylvestre (2020). En tant que dramaturge et collaboratrice, elle travaille avec Aymeline Alix, Margaux Eskenazi, Bénédicte Guichardon, Noémie Rosenblatt, Sarah Tick.
Pédagogue, elle anime de nombreux ateliers auprès d’enfants et d’adultes, notamment aux Plateaux Sauvages à Paris. En mai 2024, elle met en scène Nos Corps en Puissance au Théâtre Nanterre-Amandiers, dans le cadre des Olympiades Culturelles.

Jade Lohé
Comédienne, photographe, chanteuse, Jade se forme au Cours Florent puis au sein de l’École Auvray-Nauroy. Elle travaille un répertoire aussi bien classique que contemporaine sous la direction de Lucile Rey, Matthieu Mullier-Griffiths, Julie Macqueron, Romain Pichard, Sabrina Mokhlis, Elisa Pietrini, Hervé Richardot, Julien Ostini, Agathe Mercat.
Elle est une amie fidèle et de longue date de la Compagnie Popùliphonia : elle joue dans Agamemnon ainsi que Les petits aquariums, danse dans Blue Monday, co-écrit Le bébé dort avec Romain Pichard et met en scène On purge bébé de G.Feydeau.

Sophie Gajan
Sophie Gajan est chanteuse, comédienne et modèle. Elle débute sa formation artistique par le chant. Très vite, en parallèle elle étudie la pratique du théâtre.
Engagée dans la pensée universitaire et théorique, elle étudie à la Sorbonne Nouvelle où elle obtient un Master en Etudes Théâtrales. Diplômée, Sophie affirme son envie de pluridisciplinarité des arts. Elle multiplie alors les expériences pour construire son identité artistique où la pensée et la scène sont en oscillation permanente.
C’est ainsi qu’on a pu la voir au Grand Point Virgule dans La Pirate écologique, spectacle sur l’écologie parrainé par Yann Arthus-Bertrand, mais également jouer, chanter et danser auprès de Solo Soro dans le spectacle musical Bal Marmaille.
Elle monte son premier seul en scène Chacun.e. A travers le jeu, le chant et accompagnée d’une guitare acoustique, elle livre plusieurs histoires où chacun.e se retrouve.
Elle participe également à des séries comme Scènes de Ménages et Plan Cœur, Merci Patron… Des courts métrages : La situation de Lucas (Arte), Cancel Paradise (Web série), Les battements de mon coeur (Nikon)... et au cinéma dans Mes Beaux-Parents.
Elle fait de la voix off dans la pub, l’institutionnel et l’audio-guide.
Elle est mannequin pour M6 Boutique pendant plusieurs années.
Sophie est également membre de l’association des professeurs AFPC-EVTA France.

Julien Crépin
Julien commence le théâtre dans les ateliers proposés par le Théâtre du Cercle à Rennes. Il s’installe à Paris en 2007 pour suivre une formation à l’Atelier Théâtral de Création (ATC) et poursuit sa formation à l’Ecole Auvray-Nauroy.
Il joue sous la direction de Morgane Lory, Mathis Bois, Julien Varin, le T.A.C., Romain Pichard, Sarah Tick, Annika Weber, Raouf Raïs et Guillaume Clayssen.
Il est aussi régisseur général, lumière ou vidéo pour Romain Pichard et Jade Lohé, Thomas Matalou, Sarah Tick, Elsa Granat, Benjamin Porée, Elise Chatauret, Heidi-Eva Clavier, Anne-Laure Goffard, Pascal Reverte, Ulrich N'toyo, Morgane Lory et Guillaume Clayssen.

Maxime Berdougo
Après un baccalauréat scientifique Maxime Berdougo se forme à l’art dramatique au Cours Florent à l’issu duquel il monte Ruy Blas en 2010. Il suit ensuite le cours de Stéphane Auvray-Nauroy avec qui il explore le travail de distanciation.
Prix du public au concours du théâtre 13 en 2012 avec l’équipe d’Un siècle d’industrie dans une mise en scène d’Hugo Malpeyre. Il joue par la suite dans plusieurs pièces de théâtre classique et moderne (L’amour de Phèdre – Sarah Kane m.e.s. par Clément Bayard ; L’élégie du steak – Création originale de Nadège Guenot ; Les petits aquariums – Minyana m.e.s. par Romain Pichard ; Autour de ma pierre il ne fera pas nuit – Melchiot m.e.s. par Mathilde Boulesteix..).
Il participe en 2017 à une mise en scène de Jade Lohé, On purge bébé de Feydeau, ainsi qu’à un spectacle jeune public, Bulle et Bob par Claire Assali et Littoral de Wajdi Mouawad mes par Stéphanie Dussine pour Avignon 2017 et 2018.
Il travaille et collabore avec la compagnie d’improvisation des Eux en tant qu’impronaute In & Out ; Génération(s) ; Le Village ; et avec la Cie des Nous avec laquelle il a monté Avant, pendant, après et Hier, Ici et Maintenant (octobre/novembre 2020).
Il apparaît plus récemment dans les court-métrages Le géant vert de Yann Corbon qui donnera lieu à une série. Pisse debout de Nicolas Bélaïche, Picampoix de Bretzl production, ou encore A table de Vanya Peirani-Vignes, Musicien dans Noël au café de la poste, de Justine Viotty et Clara Ann Marchetti dans lequel il joue de la guitare et du piano (saison 2021 et 2022) et prochainement Au jour de la colère au Funambule en janvier et février 2023.

Lucie Blain
Après une formation à la danse classique et à la danse contemporaine au Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) de Nantes, puis de Paris (1997–2002), Lucie participe à plusieurs créations données au Théâtre de la Ville avec des chorégraphes invité.es tel.les que Wilfride Piollet, Jean Guizerix, Jocelyn Bosser, Stéphane Prince et la compagnie Silenda.
Depuis 2003, elle est interprète pour diverses compagnies, telles que la compagnie Silenda, Hapax Compagnie, la compagnie Marinette Dozeville, le Collectif Zone Libre, la compagnie Kalijo, la Girafe Bleue, l’Embellie Musculaire.

Romain Pichard
Il se forme au théâtre à l’Atelier Théâtral de Création de Françoise Roche et à l’école Auvray-Nauroy et passe un master en Histoire de l’Art à l’université Panthéon-Sorbonne.
Il est comédien, metteur en scène, professeur de théâtre et fonde la Cie Popùliphonia en 2009. Il est également Thérapeute par la Voix depuis 2022.
Ses activités alternent entre mise en scène - Agamemnon de Rodrigo Garcia, Journal Public création sur l’intime et le journal télévisé, Les Petits Aquariums de Philippe Minyana, Le bébé dort création avec la comédienne Jade Lohé - et son travail d’interprète avec la Cie Instincts Grégaires de Nadège Guenot, la MKCD de Matthias Claeys, le collectif d’acteurs le TAC, les metteureuses en scène Marion Chobert (Cie La Multiple), Lucile Rey, Chiara Gallo, Jade Lohé, Mathilde Gentil (Gosh Cie), Morgane Lory (Cie DDN), Frédéric Jessua, Agnès Larroque et Laure Seguette (Cie du Détour) avec qui il travaille depuis peu avec les adolescent.e.s, et également avec les enfants et Jean Philippe Naas (Cie en attendant).
Il s’intéresse également à la danse, travaille pendant six ans au Regard du Cygne à Paris et participe à différents stages et cours de chorégraphes (Michaela Meschke, Thierry Thieû Niang, Stéphane Fratti, Antonija Livinstone). Il a crée la pièce chorégraphique Blue Monday, finaliste du concours Danse Elargie 2016 au Théâtre de la Ville à Paris.
Il est collaborateur artistique et dramaturge sur de nombreux projets - Frenesia d’Elisa Pietrini, Boxes de Marie Thouément, Pour en finir avec la mascarade conférence/performance de Morgane Lory (Cie DDN) sur la place des femmes dans le théâtre, le projet Dérives de Brune Bleicher (Cie du Sabir) - et apprécie également la recherche théâtrale en participant aux sessions de travail du collectif de metteureuses en scène, Open Source.
L’enseignement est également au coeur de sa pratique depuis longtemps. Il organise différents stages et ateliers, enseigne en option théâtre en lycée et a créé un cours de théâtre régulier à Baron, son village en Bourgogne du sud.
Il partage désormais sa vie entre Paris et la campagne charolaise où il a réimplanté les activités de sa compagnie depuis 2023.
Il travaille actuellement à la mise en scène d’un nouveau spectacle Le projet je t’aime, création qui interroge les masculinités et essaie de faire rimer « homme » avec douceur, sensibilité, gentillesse, tendresse…